Tous les ans, les 4èmes et les 3èmes participent au concours du logo des Collégiades.
Les trois premiers gagnants font remporter des cadeaux pour la classe et, pour le premier prix, le logo est imprimé sur les tee-shirts des participants aux Collégiades.
(Le jeu en vaut la chandelle : avoir son dessin sur des centaines de tee-shirts, avec, entre autres, les camarades qui les portent, c'est impressionnant !)
Les logotypes, autour de nous, fonctionnent : ils font multiplier par 100 le prix de certains vêtements ou se reconnaissent au premier coup d'oeil.
Pourquoi ?
Le rapport entre l'image et ce qu'elle désigne
Penchons-nous sur quelques exemples de design graphique.
Combien de logotypes John Langdon dessine-t-il avant de trouver l'idée qui lui convient ?
Dans le premier logo, quel mélange parvient-il à faire ?
Dans le second, à quel type d'agence le designer graphiste destine-t-il ce logo ?
Site de John Langdon :
En 1958, Enric Bernat, en Espagne, invente une sucrerie à savourer au bout d'un bâton : enfin, les doigts ne collent plus !
Une agence publicitaire invente le nom de la marque : avec le verbe chupar qui, en espagnol, signifie sucer, pour faire CHUPA et CHUPS pour désigner le son produit quand on suce une sucette.
En 1969, son produit connaît un grand succès en Espagne, mais aussi en dehors du pays. Il décide alors de changer le logo de son produit. Il fait alors appel à l’artiste le plus en vogue de son temps : le peintre Salvador Dali.
A quelle forme Salvador Dali intègre-t-il le nom Chupa Chups ?
Quel est le rapport avec le surréalisme, mouvement artistique auquel Salvador Dali se rapporte ?
Salvador Dali travaillait beaucoup son image. Il n'hésitait pas à l'employer pour des fins commerciales :
http://www.culturepub.fr/videos/lanvin-dali
Pourquoi la marque Lanvin a-t-elle fait appel à lui ?
A l'heure actuelle, les industries publicitaires emploient-elles la même stratégie ?